Dans un château de la lointaine Styrie, au début du XIXe siècle, vit une jeune
fille solitaire et maladive.
Lorsque surgit d'un attelage accidenté près du vieux pont gothique la silhouette ravissante de Carmilla, une vie nouvelle commence pour l'héroïne. Une étrange maladie se répand dans la région, tandis qu'une inquiétante torpeur s'empare de celle qui bientôt ne peut plus résister à la séduction de Carmilla... Un amour ineffable grandit entre les deux créatures, la prédatrice et sa proie, associées à tout jamais " par la plus bizarre maladie qui eût affligé un être humain ". Métaphore implacable de l'amour interdit, Carmilla envoûte jusqu'à la dernière ligne... jusqu'à la dernière goutte de sang !
Lorsque surgit d'un attelage accidenté près du vieux pont gothique la silhouette ravissante de Carmilla, une vie nouvelle commence pour l'héroïne. Une étrange maladie se répand dans la région, tandis qu'une inquiétante torpeur s'empare de celle qui bientôt ne peut plus résister à la séduction de Carmilla... Un amour ineffable grandit entre les deux créatures, la prédatrice et sa proie, associées à tout jamais " par la plus bizarre maladie qui eût affligé un être humain ". Métaphore implacable de l'amour interdit, Carmilla envoûte jusqu'à la dernière ligne... jusqu'à la dernière goutte de sang !
Carmilla est pour moi une petite déception, mais dire que je n'ai pas du tout aimé cette lecture serait un gros mensonge. C'est seulement que j'avais de grandes attentes car on m'avait dit que le texte de Le fanu était un des piliers de la littérature vampirique. Il faut avouer que je ne croyais pas au départ que Carmilla était presque une nouvelle. Il ne fait que 123 pages ! Partant de là, je n'ai pas eu la longue histoire étoffée à laquelle je m'attendais mais je suis très contente de connaitre la vampire culte et sa pauvre victime Laura. J'ai découvert une histoire étonnante pour l'époque agrémentée d'une atmosphère gothique mystérieuse. Avec une dose de sensualité et des interventions des personnages ecclésiastiques, je ne doute pas que Carmilla ait suscité une certaine controverse. Il est à lire ne serait-ce que pour connaitre une ancêtre de nos nombreux vampires actuels !
4 commentaires:
Quelle couverture! J'ai Le Fanu sur ma LAL depuis un bout. Peut-être commencerai-je par celui-ci. Il doit se lire quand même vite, avec 123 pages :-)
@ melodie : Oui, tout un visage !! C'est un bon petit livre qui ne demande que 2 heures de libre ;)
Je n'aime pas cette couverture personnellement mais c'est un texte que j'apprécie tout particulièrement, d'autant plus que j'aime énormément Le Fanu, un de mes chers victoriens :)
@ Lou : J'ai bien aimé le texte aussi même si je ne m'attendais pas vraiment à ça. Je ne connais pas du tout les autres oeuvres de Le Fanu. Il faudrait que je me penche là-dessus !!
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