Jocelyne, dite Jo, rêvait d’être styliste à Paris. Elle est mercière à Arras. Elle aime les jolies silhouettes mais n’a pas tout à fait la taille mannequin. Elle aime les livres et écrit un blog de dentellières. Sa mère lui manque et toutes les six minutes son père, malade, oublie sa vie. Elle attendait le prince charmant et c’est Jocelyn, dit Jo, qui s’est présenté. Ils ont eu deux enfants, perdu un ange, et ce deuil a déréglé les choses entre eux. Jo (le mari) est devenu cruel et Jo (l’épouse) a courbé l’échine. Elle est restée. Son amour et sa patience ont eu raison de la méchanceté. Jusqu’au jour où, grâce aux voisines, les jolies jumelles de Coiff’Esthétique, lui tombent dessus. Ce jour-là, elle gagne beaucoup. Peut-être.
La liste de mes envies est un roman qui aurait pu être vraiment bien. Il aurait pu être réfléchi et passionnant car il nous amène sur une nouvelle piste de réflexion en rapport avec une question vieille comme le monde : est-ce que l'argent fait le bonheur? Malheureusement, l'auteur n'a pas su écrire le roman auquel je m'attendais en lisant le "pitch".
Jocelyne est un personnage très ordinaire mais il ressemble à tant de femmes qu'il devient tout à fait intéressant. Son blog, ses idées et ses rêves la rendent aimable vis à vis le lecteur. J'avais envie de découvrir son destin sachant qu'elle allait gagner le gros lot à la loterie. Au final, j'ai été déçue. Les situations m'ont semblé balancées avec empressement, sans détails. Les personnages de l'entourage de Jocelyne sont trop caricaturaux pour qu'on y croit véritablement. La fameuse réflexion sur l'argent et le bonheur n'est pas poussée, on ne l'aborde qu'en surface. Il y avait pourtant matière à raconter une longue histoire presque philosophique ! Celle de Grégoire Delacourt est malheureusement trop courte. En refermant le bouquin, j'ai eu une impression d'oeuvre inachevée.
Donc, oui, ce roman aurait pu être vraiment bien mais, selon moi, il est juste bien.
La liste de mes envies est un roman qui aurait pu être vraiment bien. Il aurait pu être réfléchi et passionnant car il nous amène sur une nouvelle piste de réflexion en rapport avec une question vieille comme le monde : est-ce que l'argent fait le bonheur? Malheureusement, l'auteur n'a pas su écrire le roman auquel je m'attendais en lisant le "pitch".
Jocelyne est un personnage très ordinaire mais il ressemble à tant de femmes qu'il devient tout à fait intéressant. Son blog, ses idées et ses rêves la rendent aimable vis à vis le lecteur. J'avais envie de découvrir son destin sachant qu'elle allait gagner le gros lot à la loterie. Au final, j'ai été déçue. Les situations m'ont semblé balancées avec empressement, sans détails. Les personnages de l'entourage de Jocelyne sont trop caricaturaux pour qu'on y croit véritablement. La fameuse réflexion sur l'argent et le bonheur n'est pas poussée, on ne l'aborde qu'en surface. Il y avait pourtant matière à raconter une longue histoire presque philosophique ! Celle de Grégoire Delacourt est malheureusement trop courte. En refermant le bouquin, j'ai eu une impression d'oeuvre inachevée.
Donc, oui, ce roman aurait pu être vraiment bien mais, selon moi, il est juste bien.
4 commentaires:
Je l'ai trouvé très moyen sur le moment, avec le temps j'ai réalisé que je n'avais vraiment pas aimé du tout du tout du tout...
@ Theoma : Très moyen, effectivement. Je ne pense pas garder de grands souvenirs de cette lecture.
J'ai plutôt aimé de mon côté, pour l'effet surprise des gestes posés par son mari!
@ Jules : Je sais de quoi tu parles mais, pour moi, ce n'était pas suffisant...
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