Côte d'Ivoire, 1978. Aya, dix-neuf ans, vit à Yopougon, un quartier populaire d'Abidjan. Ça sent le début des vacances mais très vite les choses vont commencer à se gâter...
«Dans les années 1970, la vie était douce en Côte d'Ivoire. Il y avait du travail, les hôpitaux étaient équipés et l'école était obligatoire. J'ai eu la chance de connaître cette époque insouciante, où les jeunes n'avaient pas à choisir leur camp trop vite, et ne se préoccupaient que de la vie courante: les études, les parents, les amours… Et c'est cela que je veux raconter dans Aya, une Afrique sans les clichés de la guerre et de la famine, cette Afrique qui subsiste malgré tout car, comme on dit chez nous, ‘la vie continue...» (M.Abouet)
«Dans les années 1970, la vie était douce en Côte d'Ivoire. Il y avait du travail, les hôpitaux étaient équipés et l'école était obligatoire. J'ai eu la chance de connaître cette époque insouciante, où les jeunes n'avaient pas à choisir leur camp trop vite, et ne se préoccupaient que de la vie courante: les études, les parents, les amours… Et c'est cela que je veux raconter dans Aya, une Afrique sans les clichés de la guerre et de la famine, cette Afrique qui subsiste malgré tout car, comme on dit chez nous, ‘la vie continue...» (M.Abouet)
Après un bon départ avec le premier album, j'ai voulu poursuivre mon séjour sur le continent africain. J'avais apprécié le premier sans être toutefois 100% convaincue mais cette fois, je le suis.
Encore une fois, j'ai apprécié le dépaysement qu'on nous offre tant avec les dessins que la langue. J'ai réalisé que j'apprends les expressions ivoirienne, j'ai de moins en moins besoin de consulter le lexique. Je commence également à vraiment embarquer dans les secrets de certains personnages. Il y en a plusieurs que je souhaite maintenant voir évoluer. Aya, de son côté, n'est toujours pas très impliquée mais ici, ça ne m'a pas dérangé. On ne parle plus que des "flirts" à répétition de Bintou et d'Adjoua, les copines d'Aya, donc ça devient vraiment intéressant.
Je ne sais pas si c'est l'histoire qui m'a davantage plu ou le fait que je connaisse de plus en plus les personnages mais cet album a confirmé mon envie de lire toute la série.
Encore une fois, j'ai apprécié le dépaysement qu'on nous offre tant avec les dessins que la langue. J'ai réalisé que j'apprends les expressions ivoirienne, j'ai de moins en moins besoin de consulter le lexique. Je commence également à vraiment embarquer dans les secrets de certains personnages. Il y en a plusieurs que je souhaite maintenant voir évoluer. Aya, de son côté, n'est toujours pas très impliquée mais ici, ça ne m'a pas dérangé. On ne parle plus que des "flirts" à répétition de Bintou et d'Adjoua, les copines d'Aya, donc ça devient vraiment intéressant.
Je ne sais pas si c'est l'histoire qui m'a davantage plu ou le fait que je connaisse de plus en plus les personnages mais cet album a confirmé mon envie de lire toute la série.
2 commentaires:
Contente que tu aies continué et que tu aies aimé :-) J'adore vraiment la langue et les expressions. Je me bidonnais avec les proverbes qui n'avaient ni queue ni tête pour moi :-)
@ melodie : Moi aussi les proverbes me font rire ! L'utilisation du mot "même" me fait bien rire aussi comme dans "C'est quoi ça, même?" :)
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