
Les enfants Pawulski trouveront tour à tour à y semer leurs rêves de bonheur et d’amour, près d’un grand fleuve, dans la ville colorée de Montréal, et dans les plaines généreuses du Manitoba. Le destin de Ces enfants d’ailleurs se poursuit dans un deuxième tome sous-titré L’envol des tourterelles.
J'ai lu ce roman il y a un bon moment. C'était à l'époque où je regardais la télésérie Les filles de Caleb de la même auteure. Étant séduite par ses histoires, je voulais découvrir ses autres romans. J'avais choisis Ces enfants d'ailleurs qui a aussi été adapté pour la télévision mais dont je n'ai vu aucun épisode.
Comme dans Les filles de Caleb, il s'agit ici d'une grande fresque familiale. Dans ce roman, on suit pendant plusieurs années la famille Pawulski. D'abord, on les accompagne en Pologne pendant la Deuxième Guerre mondiale. J'ai beaucoup aimé cette partie. L'atmosphère de tension et de peur qui règnait pendant la guerre est très bien rendue. Je n'ai pas beaucoup lu sur cette époque qui ne m'a jamais vraiment attiré mais étonnamment, dans ce roman, c'est la partie que j'ai préféré. D'ailleurs, j'aime bien le titre, Même les oiseaux se sont tus, qui est très évocateur.
La deuxième partie se déroule au Canada alors que la famille s'est malheureusement fractionnée. Les Pawulski, tout juste immigrés, n'ont pas la vie facile tous les jours. Cette seconde partie, sans que j'en identifie la raison, m'a moins plu. Je l'ai lu plus lentement. Après cette lecture, j'ai voulu passer à autre chose tout en gardant en tête que j'y reviendrais pour connaître le destin des enfants Pawulski. Je pense que j'ai trop tardé. C'est malheureux mais je ne me souviens plus assez des personnages et des évènements maintenant pour lire le deuxième tome L’envol des tourterelles. Je me souviens toutefois avoir généralement poursuivit cette lecture avec un grand intérêt.
N.B.: Ayant lu ce roman il y a un bout, il ne compte donc pas pour le défi La plume québécoise. C'est une bonne suggestion par contre !