Après Et si c'était ça, le bonheur?, Francine Ruel fait revivre son héroïne, Olivia Lamoureux, qui, au terme de ses premières aventures, nageait en plein bonheur dans sa maison jaune, entourée de ses amis et d'un nouvel amour. Dans Maudit que le bonheur coûte cher!, voilà que la vie rattrape Olivia, avec ses hauts et ses bas. Le bonheur a un prix, et parfois il coûte cher. Sa chatte Bouboulina se fait vieille, son amant Harris est de plus en plus absent. Les méfaits de la "minipause" ne lui laissent aucun répit, et de nouvelles rénovations l'accaparent alors qu'elle se croyait désormais à l'abri des experts en travaux de tout genre.Dans Maudit que le bonheur coûte cher!, il y a des joies et des peines, des cris d'allégresse et de grincements de dents, et quelques fous rires. Sans oublier un mariage et deux enterrements, une adoption, une naissance et un voyage en Italie. Olivia pourra-t-elle survivre à ces nouvelles péripéties? Qui a dit que la vie était un long fleuve tranquille?
J'adore la couverture de ce livre ! Plus sérieusement, j'ai beaucoup appréciée la suite de Et si c'était ça, le bonheur ? En fait, j'ai même préféré ce deuxième tome au premier ce qui est plutôt rare, dans mon cas, lorsque je lis des séries. Olivia fait face à de nombreux événements, qu'ils soient tristes ou heureux, ce qui rend le l'histoire beaucoup plus dense et beaucoup moins prévisible. J'ai apprécié me faire surprendre par l'auteur. C'est certain que c'est difficile à croire qu'en si peu de temps, Olivia et sa "bande" puissent vivre autant d'événements mais cela m'a tenu en haleine. J'ai été touchée de nombreuses fois, particulièrement quand Vincent fait une annonce à sa mère dans la tente, je ne sais pourquoi mais je n'en dis pas plus ! J'ai bien aimé les différentes péripéties sauf, la vie du sidéen qui ne m'a pas intéressée, surtout qu'il s'agit d'un personnage qu'on ne connait presque pas et auquel je ne me suis pas attachée.
L'humour y est omniprésent tout comme dans le premier tome même si certains passages sont plus tristes. Souvent, des personnages me faisaient penser à des gens de mon entourage, ce qui me faisait rire encore plus. Finalement, j'ai été un peu triste de quitter Olivia, Vincent, Massimo (mon préféré !), Albert, François, Harris, Henri et les autres.
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