mardi 6 mars 2018

La série The End of the f***ing world (saison 1)

Les derniers mois, j'ai regardé beaucoup de séries québécoises et d'ailleurs. J'ai envie de vous parler de celles que j'ai préférées. Je commence donc par cet OVNI, une série britannique disponible sur Netflix, qui est l'adaptation d'un roman graphique de Charles Forsman. Si comme moi vous ne l'avez pas lu, voici le pitch (de mon cru):

James se sent différent des autres adolescents. Il aime les sensations fortes et croit qu'il est un psychopathe. Dans le passé, il a déjà tué quelques animaux ce qui lui a procuré un certain plaisir. Il pense qu'il doit passer à un autre stade et il a choisi sa victime. Ce sera Alyssa, la nouvelle élève rebelle de son école. En tentant de se rapprocher, il se retrouvera en cavale avec elle...

Son projet nous paraît horrible au départ mais rassurez-vous, James n'est pas exactement comme il le croit. Tout passe super bien avec beaucoup d'humour noir et des scènes mémorables. La série va là où on ne s'y attend pas du tout. Le ton est complètement décalé et très drôle. Les personnages principaux sont bien interprétés aussi.

Ce n'est absolument pas une série pour les enfants mais les adolescents l'aimeront sans doute tout comme les adultes. Les épisodes sont courts (entre 22 et 25 minutes) et lorsqu'ils se terminent, nous n'avons qu'une envie : en regarder un autre ! C'est différent de tout ce que je regarde habituellement mais j'ai beaucoup aimé !

2 commentaires:

Sandrine a dit…

Oups, je n'ai pas Netflix mais que les séries sont addictives :)

Anonyme a dit…

The further some one 'develops' logically or socially, the
further they'll generally speaking get away from their normal character and capacity to
feel feeling.