dimanche 21 février 2010

Même les oiseaux se sont tus (Ces enfants d'ailleurs tome 1) - Arlette Cousture

Quatrième de couverture :

Ces enfants d’ailleurs se nomment Élisabeth, Jan et Jerzy. Nous faisons leur connaissance et celle de leurs parents, Tomasz Pawulski, professeur d’histoire, et Zofia Pawulska, musicienne, en 1939, à Cracovie, en Pologne. Avec eux, nous vivons la Deuxième Guerre mondiale dans une Europe si triste que « même les oiseaux se sont tus ». Puis, une nouvelle cadence s’installe qui nous fait traverser l’Atlantique en leur compagnie, vers un pays où le violon de Zofia pourra résonner de nouveau : le Canada.

Les enfants Pawulski trouveront tour à tour à y semer leurs rêves de bonheur et d’amour, près d’un grand fleuve, dans la ville colorée de Montréal, et dans les plaines généreuses du Manitoba. Le destin de Ces enfants d’ailleurs se poursuit dans un deuxième tome sous-titré L’envol des tourterelles.

J'ai lu ce roman il y a un bon moment. C'était à l'époque où je regardais la télésérie Les filles de Caleb de la même auteure. Étant séduite par ses histoires, je voulais découvrir ses autres romans. J'avais choisis Ces enfants d'ailleurs qui a aussi été adapté pour la télévision mais dont je n'ai vu aucun épisode.

Comme dans Les filles de Caleb, il s'agit ici d'une grande fresque familiale. Dans ce roman, on suit pendant plusieurs années la famille Pawulski. D'abord, on les accompagne en Pologne pendant la Deuxième Guerre mondiale. J'ai beaucoup aimé cette partie. L'atmosphère de tension et de peur qui règnait pendant la guerre est très bien rendue. Je n'ai pas beaucoup lu sur cette époque qui ne m'a jamais vraiment attiré mais étonnamment, dans ce roman, c'est la partie que j'ai préféré. D'ailleurs, j'aime bien le titre, Même les oiseaux se sont tus, qui est très évocateur.

La deuxième partie se déroule au Canada alors que la famille s'est malheureusement fractionnée. Les Pawulski, tout juste immigrés, n'ont pas la vie facile tous les jours. Cette seconde partie, sans que j'en identifie la raison, m'a moins plu. Je l'ai lu plus lentement. Après cette lecture, j'ai voulu passer à autre chose tout en gardant en tête que j'y reviendrais pour connaître le destin des enfants Pawulski. Je pense que j'ai trop tardé. C'est malheureux mais je ne me souviens plus assez des personnages et des évènements maintenant pour lire le deuxième tome L’envol des tourterelles. Je me souviens toutefois avoir généralement poursuivit cette lecture avec un grand intérêt.

N.B.: Ayant lu ce roman il y a un bout, il ne compte donc pas pour le défi La plume québécoise. C'est une bonne suggestion par contre !

2 commentaires:

Isa a dit…

Je viens de terminer la lecture de ce tome. Tout comme toi, j'ai nettement préféré la partie qui se passe en Europe. Étrange, quand on pense qu'en général les livres qui se passent par chez nous m'intéressent plus que ceux qui se passent à l'étranger. Arlette Cousture a du faire de très nombreuses recherches pour rendre l'atmosphère si réaliste...
J'entame tout de suite la lecture du deuxième tome. Je ne voudrais pas qu'il m'arrive la même chose qu'à toi... Très bon blog, en passant ! :)
Isabelle

Marguerite a dit…

@ Isa : Bienvenue sur mon blog ! Je suis bien contente qu'il te plaise :)

J'avais lu quelques part qu'Arlette Cousture avait fait de nombreuses recherches et même un voyage en Europe pour pouvoir écrire cette histoire. Reviens lorsque tu auras lu le deuxième ! J'aimerais bien connaître ton avis sur celui que je ne lirai peut-être jamais. Bonne lecture Isa !